De quoi que tu veux que je te parles donc ?
:)
Il est tout beau mon nouveau planning, un planning complet
sur près de 4 semaines.
Beau certes, d'une beauté effrayante, résumé exhaustif de ce
retard accumulé depuis début janvier, c'est un planning
résolument aggressif.
Pourquoi parler de ce planning ? Evidence ! En effet, un
créneau pour enrichir un blog, désormais délabré, y a même
été prévu.
Reprenons donc le sujet, de quoi discourir, bonne question ?
Je pourrai m'attarder sur mes interminables journées de
soldes, sur mes sorties de plus en plus régulières : boîtes,
restaurants, musées, théâtre, ou encore sur mon boycotte
progressif des cinémas. En effet, il parrait que les tarifs
ont encore augmentés et que la progammation est de plus en
plus stupide. Au fait, ce serai bien si je n'allais pas seul
vister le musée d'Orsay ?
Je pourrai aussi parler de tous ces sujets brulants qui
jalonnent l'actualité et me préoccupent, ces sujets sur
lesquels j'ai des avis pour le moins tranchés qui prennent
bien souvent les médias à contre-pied.
Mes amis, je devrai en parler de mes amis ceux avec qui je
tente veinement de renouer un contact, ceux que je tente
d'oublier ou bien ceux que j'oublie. Ceux aussi que je vois
régulièrements, les nouveaux ? Ceux qui m'appellent ou plus
fréquents, ceux m'appellent pas, me doivent de l'argent, un
service, une quiche ?
Je pourrai parler aussi de ma toute nouvelle reconnaissance
professionnelle ! Enfin un vrai travail, sans naturellement
remettre ne cause mes études.
Non, je choisis de conclure sur une note plus noire, ce qui
m'a fait plonger ces quinze derniers jours. Etait-ce pour
oublier des vacances annulées au ski, ou plus simplement la
fausse impression du trop grande de liberté laissée par un
planning vraiment trop vide ? En tout cas, j'ai relancé, en
connaissance de cause mes vieux démons, j'ai bien du perdre
une bonne semaine en cumulé. J'avais pourtant si bien réussi
à les évacuer depuis trois ans.
Et, me direz vous, en ce qui concerne Internet ? Oublié.
Rappelez moi donc de quoi ça parle ? Une longue liste de
numéro de téléphone dans mon répertoire, d'étranges contacts
suivis par des lieux géographiques encadrés par des points
d'exclamations. L'achèvement d'un processus d'abandon entamé
il y a 8 mois déjà.
Et moi qui allait conclure sur une note négative. Vous voila
rassurés !
Je n'avais décidément rien à raconter.
mars.
Aurélien.